Douce symphonie, il faut que je te dise,
Je sais que tu va être surprise
Mais il faut que t'exposes avec franchise
Toutes mes craintes et mes méprises.
Faut il aussi que je t'avoue, belle marquise ?
Je rêve d'humer ta peau couleur cerise.
Captivante, tu m'as sous ton emprise,
Tu m'indisposes, tu m'hypnotises.
Avant que quelque chose en moi se brise,
Soufflant sur mon front telle une brise
Tu as un je ne sais quoi qui me grise
Ou tel un feu que le vent du regret attise
Tu es et tu resteras ma gourmandise.
Je voudrais que ce moment à jamais s'éternise,
Mon âme n'est pas à mon cœur soumise,
Je suis un romantique qui s'enlise.

Il faut que je t'avoue quelque chose
Toi qui est aussi belle qu'un champ de roses,
J'hésite, mais un jour il faudra que j'ose,
Il est temps que dans tes bras, je me repose,
Soigner mon cœur et ses écchymoses.
Dans ta lumière qui éclose
Je suis tel un vampire qui se décompose
qui voudrais faire de l'amour, un virtuose.
Je déposerai à tes pieds, des proses
pour qu'en tes jours bénis, je me métamorphose.
Comme une porte qui restera close
Je ne peux pas m'enpécher d'être morose
Quand je te désire et pour cause,
J'ai fait de toi, une overdose.

Il faut que je t'avoue quelque chose
Mais ma vie est remplie de psychose.
Tu m'intimides, tu m'indispose,
moi qui étais déjà fou de toi, j'explose.

IL est l'heure du thé ou du café noir
De l'espoir ou du désespoir,
C'est l'heure de la pluie ou du vent,
De se réveiller, il est temps

Il est l'heure de se prendre en main,
De faire face à son destin.
Il est temps de se prendre en main,
De faire face à son destin,
Il est temps de tout savoir
Mais savoir quoi ?
Car tu ne veux plus me voir
Alors que je ferais tout pour toi.

Il est l'heure de se rendormir
Car l'amour va repartir
Vers un autre cœur,
Faire éclore un autre bonheur.

Comme un boxeur après un combat
Ou un homme qui a trop bu
Qui ne sait plus où le mène ses pas.
J'étais, je suis, je fus.

Ce midi, une tempête
S'est abattue sur ma tête
Messieurs les pompiers venez me sauver,
Je sens le sol se dérober sous mes pieds.

Mon cœur tourmenté brûle d'angoisse
Et ressemble à une paroisse
Abandonnée par ses fidèles,
Je me demande si je suis bien réel

Il y en à qui écoute quoi écoute le bruit,
Moi j'écoute le silence.
Dans un monde à moi, il n'y a pas de nuisances,
Le bruit s'est enfui ;

Dans un monde à moi, il n'y a ni pluie ni vent,
l n'y a jamais d'accidents.
Tous nos vœux
Sont exaucés, je suis heureux.

Je viens de me réveiller,
J'ai fait un rêve merveilleux,
Oh si rêve devenait réalité
Tout le monde serait heureux.

Jeunes gens dans l'assistance
Je réclame un peu de silence
Pour vous dire que le don du partage
C'est un long et dur apprentissage.

Savoir donner pour ceux qui n'ont rien,
Savoir couper son cœur en deux,
Savoir donner pour ceux qui ont faim,
C'est tout ça être généreux.

Le don du partage
C'est la première page
De mon cœur à l'ouvrage,
Tout le monde ne l'a pas, c'est dommage.

J'ai entendu chanter un petit roitelet
Sur une branche d'églantier,
Il était si vulnérable qu'il me faisait pitié.
Je l'ai longtemps écouté.

J'ai écouté ce couplet
Quand une déflagration à déchiré l'air,
Le petit roitelet est tombé à mes pieds,
Il n'y avait plus rien à faire.

Le roitelet ne pourra plus chanter
Une tache de sang est là pour témoigner.
Il ne chantera plus jamais.

Je verrais les fleurs d'un œil différent,
Je réapprendrais le langage des enfants,
Le soleil serait mon ami
Et la nature, ma petite amie.

Je serais un fou chantant
Du vent, j'en ferais mon confident
Et de mes plus beaux alexandrins
J'en ferais des refrains.

Je serais un fou au jour le jour,
J'oublierais ma vie d'avant
Pour vivre l'instant présent.
J'oublierais ce que veut dire " toujours ".

Si j'avais à te définir l'amour
Ce serait en tes yeux tous les matins
Ou en ta beauté au quotidien,
Si j'avais à te définir l'amour,
Je parlerais de ton sourire
Pour que chacun de nous se rappelle
Pour qui je me suis mis à écrire ce poème très artificiel.

Si j'avais à te parler de l'amour,
De peur de prendre de mauvais chemins
Je me tairais et laisserais parler mon cœur
Car il connaît tout du bonheur.

QUAND JE T'AIME

Quand tu es dans mes bras,
Quand je sens que tu es là,
Quand tu me mets le feu,
Je suis le plus heureux.

Quand je t'admire,
Quand tu me fais souffrir,
Quand tu es loin de moi,
Je sais que je suis fou de toi.

Quand se pose sur mes lèvres
Tes lèvres pleines de fièvre,
Quand je t'aime,
Je ne suis plus le même.

PARDONNE-MOI

Aussi vrai que le bleu des océans,
Aussi libre que l'oiseau dans le ciel,
Si je dois être condanné à mort
Je veux que toi seule, soit mon bourreau.

Pardon pour cette offense,
Cette malencontreuse ambition
Qui n'avait pas lieu d'être.
Dans tes grands yeux je n'ai plus le droit d'exister.

J'ai été aveuglé par mon orgueil,
Je ne devais pas avoir le compas dans l'œil,
Mon cœur, après toi, n'est plus qu'un vaste cercueil.