![]() |
![]() |
![]() |
||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||||||||
![]() |
![]() |
|||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
|||||||||||||||||||
![]() |
||||||||||||||||||||
A
l'un trop d'effets, à l'autre un pieux mensonge.
La lune m'est témoin de si grandes douleurs;
A chaque pas commis dans cet étrange songe,
Il me semble que sonne ma dernière heure.
Nul doute que ce tourment me sera fatal,
Tiraillée entre ces deux objets de désirs,
Réveillée jusque dans ma nuit par ce fiel,
Obsédée, finalement, par ces deux empires
Dont l'un, comblant, est licite; l'autre létal.
Enflammée par ce dilemme cornélien,
Façonnai-je cette solide tour d'ivoire
En laquelle je suis protégée de ces liens,
Tirant rideaux sur ce que je ne saurais voir.